Nom de l’auteur/autrice :Jean VELOURS

OENOMARCHEURS Objectif et Réalisations

O B J E C T I F   ET    R E A L I S A T I O N S

 

Traditionnellement, à l’occasion de la soirée champêtre de fin juin, l’association organisait l’après-midi un rallye et une visite d’un château viticole de Léognan. Compte tenu de l’intérêt porté à la chose viticole par de nombreux  marcheurs, nous avons organisé début 2017, moyennant une cotisation de 10 € par an en plus des 20 € de la cotisation d’adhésion à MARCHE ET DECOUVERTES, un groupe de marcheurs que nous appelons OENOMARCHEURS.

Le vin est le fruit du travail de femmes et d’hommes passionnés qui depuis des générations et des siècles élaborent sur tous les continents de notre planète un produit différent au gré des éléments climatiques, d’un terroir, d’un matériel végétal et de techniques viticoles et œnologiques qui évoluent sans cesse.

Le but de notre petit groupe est d’aborder au niveau professionnel les principales composantes des volets d’un produit qui complète avec bonheur les plaisirs de la table.

2 0 1 7

  • 18 mai : visite du Domaine de Chevalier à Léognan.
  • 7 juin : visite du Château Haut Plantade à Léognan et aperçu de la protection phytosanitaire du vignoble.
  • 7   septembre : dégustation de vins blancs 12 allée de Gazin à Léognan.
  • 27  octobre : repas au Piano du Lac de l’Ecole Ferrandi.
  • 10 et 30 novembre : visite de la tonnellerie Demptos à Saint Caprais de Bordeaux.

2 0 1 8

  • 11 janvier : visite du Château d’Eyrans à Saint Médard d’Eyrans.
  • 8 février : visite de la Cité du Vin à Bordeaux.
  •  6 juin : visite du Domaine de Tarriquet à Eauze.
  • 12 juillet : réunion mildiou 12 Allée de Gazin à Léognan.
  • 11 octobre : repas au Piano du Lac de l’Ecole Ferrandi.
  • 8 novembre : dégustation de vins blancs 12 allée de Gazin à Lèognan.
  • 14 décembre : visite du Château Dauzac et du Château Lafite Rothschild.

2 0 1 9

  • 14 mars : bilan de l’année 2018 au 12 Allée de Gazin à Léognan.
  • 14 mai et 24 juin : visite de la tonnellerie Nadalié à Ludon Médoc.
  • 20 juin : visite du Château Carbonnieux.
  • 1 octobre : bilan mildiou et reconnaissance des cépages à Léognan.
  • 7 novembre : visite du Château Laubade à Sorbets en Armagnac.

2 0 2 0  

  •   En raisin du covid, seulement visite des vignes autour de Léognan (maladies et cépages) les 16 et 18 juin. 

2 0 2 1

  • 24 juin et 17 novembre : visite du Château Jalousie Beaulieu à Galgon et du Château La Rivière à Saint Germain La Rivière.
  • 23 novembre : visite des vignes à Léognan.

2 0 2 2

  • 31 mars et 7 avril : visite de la Cave des Cordeliers à Saint Emilion.
  • 31 mai et 1 juin : dégustation de vin rouge à Georges Brassens à Léognan.
  • 22 septembre : visite de Millesima du Groupe Bernard (Domaine de Chevalier).
  • 20 octobre : visite de la tonnellerie Marques à Martillac.

OENOMARCHEURS Objectif et Réalisations Lire la suite »

La vie de l’association janvier 2023

Pour télécharger le fichier,   cliquer ici

VIE DE L’ASSOCIATION

COTISATION 2023 : La cotisation pour l’année 2023 est à régler au plus tard le 31/12/2022. Son montant reste inchangé : 20€. Etablir un chèque à l’ordre de Marche et Découvertes et le remettre à un animateur lors d’une marche ou bien l’adresser à Alain Prévost 4 rue de Rambaud 33850 Léognan.

PS : merci d’établir un chèque uniquement pour le paiement de la cotisation et ne pas y associer le règlement d’un repas, d’une commande ou d’une sortie éventuelle de l’association.

 

 Samedi 14 janvier : Assemblée Générale de notre association à 15h aux Halles de Gascogne, émargement à partir de 14h15, suivie de la galette des rois et du verre de l’amitié.  Cliquer ici

 

20h30 : « soirée d’automne »   repas dansant animé par l’orchestre CEZANELA.

MENU :

–   Cocktail (punch ou pétillant à la crème de pêche, jus d’orange)   accompagné de toasts froids et chauds,   

Emincés de charcuterie :  saucisson sec truffé, chorizo ibérique, coppa,

Ateliers gourmands :

Médocain : découpe de jambon cru, rillettes d’oie, pains spéciaux,

Saumon : découpe de saumon aux 5 baies,

 

Ballotine de volaille farce poire, pain d’épice « sauce épices douces », 2 accompagnements.

Assiette de 2 fromages, mâche,

Soufflé au grand marnier,

Vins et café.

Venez nombreux fêter cette nouvelle année dans la joie et la bonne humeur. Coût de la soirée 23€/personne (participation de l’association), même tarif pour les conjoints non adhérents ; réservation avant le 5 janvier dernier délai ; chèque à l’ordre de Marche et découvertes adressé à Alain Prévost 4 rue de Rambaud 33850 LEOGNAN – tél. 0556640499 / 0681520295.

Une tombola sera organisée avec de nombreux lots.

La vie de l’association janvier 2023 Lire la suite »

A propos de la méthode traditionnelle

A PROPOS DE LA METHODE TRADITIONNELLE.

          Nous voici réunis, ici, pour une dégustation de vins pétillants. Je me propose de vous apporter quelques précisions sur ce que Michel Touzan a choisi de qualifier de « pétillants ». Ce terme porte en lui une idée « festive » ; mais concerne en fait des produits à la fois semblables et différents. Le terme exact est vin « effervescent » mais , pour moi, ce mot me fait penser à un médicament !!.Alors que cachent les dénominations ; mousseux, méthode champenoise, méthode traditionnelle, crémant et champagne. Actuellement, pour les vins mousseux, on injecte du gaz carbonique directement dans le vin. Oublions ça tout de suite !!

Je cite maintenant un paragraphe tiré d’un bouquin de 1984 :

« Le champagne aurait été connu bien avant que Don Pérignon n’entre à l’abbaye de Hauvillers (1668). Il est , semble-t-il plus sage de considérer que le premier vin mousseux est dû à une refermentation accidentelle, et que Dom Pérignon n’a pas plus inventé la prise de mousse que la flûte. Ne lui enlevons pas pour autant ses mérites , et considérons ce moine comme le père spirituel du Champagne, tant étaient grands son amour de l’oenologie, sa connaissance approfondie du vin, son esprit d’observation. Il est certain  que les soins que don Pérignon sut donner au vin permirent pour la première fois l’obtention d’un vin digne d’être   le véritable ancêtre du Champagne. » Don Pérignon » naquit en Lorraine en 1638, entre à l’abbaye en1668 et meurt en 1715.
Il faudra patienter encore de nombreuses années pour que les méthodes permettant la « prise de mousse « soient  sûres et non aléatoires comme  par le passé. Parallèlement, il faudra élaborer une bouteille qui réponde à toutes les contraintes pour parvenir au produit attendu.

Ces techniques vont être copiées dans tous les grands vignobles : Alsace, Bourgogne, Jura, Loire, Bordeaux , sans oublier les appellations spécifiques : Limoux, Die, Vouvray, Saumur ; mais aussi à l’étranger, en Espagne, au Portugal, en Italie. On finira par trouver des champagnes étrangers ! Devant ce sans gêne et le peu de rigueur de certains producteurs français, les producteurs champenois obtiendront de l’Union Européenne que  seuls les produits élaborés sur leur terroir géographique aient droit  au nom « CHAMPAGNE et METHODE CHAMPENOISE » Toutes les autres imitations seront qualifiées de « METHODE TRADITIONELLE » . Ces mêmes producteurs champenois gagneront un procès contre Yves St Laurent qui avait dénommé un de ses parfums « Champagne ». Le flacon de ce parfum avait la forme d’une barrique (toute petite!).L’image de marque du champagne était quelque peu écornée avec une barrique pour symbole.

Dans les années 50 – 60 vont apparaître des vins un peu plus élaborés sous le nom de « CREMANT ». Bien sûr, la législation va suivre et des décrets (1) instituant une A. O. C. pour ces crémants avec un cahier des charges particulières à chaque appellation . Ces décrets verront le jour dans les années 70. Pour Bordeaux, ce sera en 1990 !!.

Tant pour la méthode traditionnelle que pour les crémants des différentes appellations on utilisera toujours les cépages les plus courants de la région concernée. En région bordelaise, pour le blanc, on vinifiera du sauvignon venant essentiellement de l’entre-deux mers et pour le rosé, ce sera du merlot. Ce seront des vendanges précoces et manuelles : précoces pour avoir davantage d’acidité et moins de sucre ; Manuelles, le raisin n’étant pas totalement mûr, les baies ne se détachent pas de la rafle. Le merlot, cépage noir donne du jus blanc au pressage. Il massèrera quelques minutes et l’on obtiendra ce jus rose pale. Ces jus seront vinifiés de façon habituelle : fermentation alcoolique puis fermentation malo-lactique avec un degré autour de 10,5°
A la fin , on a le vin tranquille. Il faut passer au vin effervescent après une deuxième fermentation en bouteille . Pour ce faire, on va ajouter au vin tranquille, une « liqueur de tirage ». Ce sont tout simplement des levures et du sucre. Ce vin est aussitôt mis en bouteilles (type champenoise pour résister à la pression) qui seront capsulées (type capsules de canette de bière) Les bouteilles sont stockées à l’horizontale , le plus souvent dans des caves naturelles (anciennes carrières température : 11 à 12°) ou dans des chais climatisés à 15°. Là, le  vin va refermenter sous l’effet des levures. Le gaz carbonique dégagé va se mêler intiment au vin et avec le sucre ajouté , on obtiendra du vin autour de 12°. Les bouteilles vont ainsi »dormir » de longs mois et même de longues années. La fermentation va produire ses dépôts et des impuretés qui resteront sur le côté de la bouteille.

Pour commercialiser ces bouteilles, il est indispensable d’enlever ces impuretés. Les bouteilles étaient mises sur « pointe » ; le goulot vers le bas ; sur, des pupitres. On a tous en mémoire des images de personnes faisant tourner les bouteilles d’un quart de tour .Travail long et répétitif qui faisait descendre les impuretés le long du goulot pour se concentrer sur la capsule. Maintenant, ces opérations sont robotisées. La machine fait tourner des centaines de bouteilles en même temps sans problème de crampe ou de tendinite ! La durée de ce remuage sera plus rapide ; plusieurs tours par jour toutes les 6 heures jour et nuit. Lorsque les impuretés sont sur la capsule ; les bouteilles peuvent rester quelques temps, à la verticale, tête en bas .

Il faut maintenant procéder au dégorgement pour évacuer les impuretés de la bouteille. Autrefois, cela se faisait « à la volée » Manuellement, on ouvrait la bouteille , et sous l’effet de la pression accumulée lors de la 2ème fermentation (6 bars), les impuretés s’échappaient avec plus ou moins de liquide, ce qui ajoutait une difficulté pour la remise à niveau. Maintenant, cette opération est automatisée : La bouteille , tête en bas , passe dans un système de réfrigération rapide . Un glaçon de 3 à 4cm de long va se former juste au-dessus de la capsule,

emprisonnant toutes les impuretés . En ouvrant la bouteille , sous l’effet de la pression, le glaçon est éjecté. Le vin est maintenant propre mais la bouteille n’est pas pleine. On ajoute alors une « liqueur de dosage » . C’est une opération précise. En fonction de la dose de sucre ajoutée , le résultat final sera différent. On obtiendra du « brut » ou du « demi-sec ». En champagne, il y a 5 dosages différents. La bouteille reçoit le bouchon de liège, le « muselet » pour solidariser le bouchon et la bouteille. Ensuite, on passe à « l’habillage » : coiffe et étiquettes. Les bouteilles sont mises en caisses pour l’expédition….prêtes pour la dégustation.

Un résumé rapide de l’élaboration de la méthode champenoise qu’il faut appeler méthode traditionnelle, maintenant. Que ce soit pour la méthode traditionnelle, le crémant, le Champagne, l’élaboration est identique. Ce qui diffère et justifie des appellations différentes c’est le temps de garde en position couchée : méthode traditionnelle, 9 mois minimum.

crémant, 12 mois minimum

Champagne , 4à 5 ans.

Pour les personnes qui ont participé à la visite du Cloître des Cordeliers à St Emilion, vous avez dégusté un crémant vintage (5ans) un crémant millésimé 2015 (7 ans) On nous a bien fait remarquer la légèreté de la mousse et la finesse des bulles.

En Champagne, on trouvera des gardes  encore plus longues. (10 à 15ans) . Les grandes maisons de négoce effectue des mélanges savants des vins tranquilles pour avoir une qualité gustative semblable d’une année sur l’autre. Les producteurs particuliers doivent faire avec leur seule production d’où des résultats différents. (2)

Voilà quelques indications pour vous permettre de savoir ce que vous allez déguster.

Le 8 décembre.

D. BERNEGE.

 

          (1) Dates des décrets A.O.C. pour les Crémants :

Vouvray:1936                                   Alsace : 1976

Limoux : 1981                                   Loire : 1975

Bourgogne : 1975                            Die :1971

Saumur : 1976                                  Bordeaux : 1990.

 

          (2) Qui élabore le Champagne ; qui le commercialise ?

Sur les étiquettes de bouteilles de champagne, vous trouverez 2 lettres. Voilà leur signification/ :

R.M.: Récoltant Manipulateur.

C’est le propriétaire particulier qui ne travaille qu’avec sa propre récolte.

           N.M.: Négociant Manipulateur.

Ce sont les grandes marques de Champagne. Elles travaillent avec les raisins achetés dans les différents terroirs , vinifient, font  des mélanges savants, élaborent et commercialisent.

           R.C.: Récoltant Coopérateur.

La coopérative élabore le produit qui est vendu sous le nom du vigneron coopérateur.

C.M. : Coopérative de Manipulation.

Dans ce cas, le champagne est vendu sous le nom de la coopérative.

           S.R. : Société de Récoltants.

Même principe que pour les Négociants, mais avec des vins issus des propriétés appartenant à une même famille.

M.A. : Marque Acheteur.

Ce sont les produits vendus sous une appellation spécifique de Grande Surface.

N.D. : Négociant Distributeur.

Achète des champagnes élaborés, vendus sous le nom du Distributeur.

 

BONNES  DEGUSTATIONS.

A propos de la méthode traditionnelle Lire la suite »

LE GOUT DU VIN Le Grand Livre de La Dégustation Emile PEYNAUD Bordas Paris 1980

LE GOUT DU VIN Le Grand Livre de La Dégustation

Emile PEYNAUD   Bordas Paris 1980

QUELQUES EXTRAITS

Page 29…..  Des étudiantes canadiennes, le verre de Médoc à la main, entourent le maître de chai et l’interrogent sur la signification de ces pleurs qui coulent sans fin sur la paroi du verre.

  • C’est le gras du vin, sa glycérine, répond-il.
  • Alors c’est à ça qu’on reconnait le bon vin ?
  • Et si un vin ne pleure pas ?
  • C’est qu’il n’est pas de bonne qualité !

Témoin de la scène, je ne peux intervenir et contredire le maître, mais les canadiennes parties, je lui reproche de les avoir sciemment induites en erreur.  Il a cette réponse du psychologue : l’explication est fausse, mais elle est tellement satisfaisante. Et comme tous les vins font des larmes !

La couleur peut se décrire avec un vocabulaire très riche. Les vins rouges changent de couleur en vieillissant.

Les vins blancs sans bulles sont des vins tranquilles. Quand ils ont des bulles, ils peuvent être par exemple du champagne, un crémant en France ou un cava en Espagne.

Le verre de dégustation sur pied pour agiter le vin, a pour le rouge une forme qui permet de concentrer les arômes et le mieux les capter par le nez. Les flûtes à champagne permettent aux bulles de s’exprimer le plus facilement possible.

Le nez et la langue perçoivent certaines propriétés des corps chimiques qui arrivent à leur contact et qui constituent l’odorat et le goût. Ils reçoivent des messages et réagissent à des molécules alors que la vue capte des radiations, l’ouïe des vibrations et que le toucher est sensible à des propriétés physiques.

Le nombre de saveurs est infini car tout corps soluble a une saveur spéciale qui ne ressemble entièrement à aucune autre remarquait Brillat Savarin. Il a fallu beaucoup de temps pour démêler cette complexité. On admet aujourd’hui qu’il n’y a que quatre goûts fondamentaux qui sont perçus par les papilles de la langue :

  • Le sucré : sucrosité ou dulcité ou douceur.
  • L’acide : acidité.
  • Le salé : salinité.
  • L’amer : amertume

Ces goûts sont perçus par des zones bien identifiées de la langue. Pour s’en rendre compte, il est très simple de faire glisser un petit morceau d’ail sur le bord e la langue pour s’apercevoir que l’on ne perçoit plus son acidité.

Toutes les combinaisons sont possibles et il faut une bonne connaissance des saveurs de base et un effort d’analyse pour définir les mélanges complexes.

Considéré du point de vue chimique, le vin est une solution hydroalcoolique contenant vingt à trente grammes de substances dissoutes qui en constituent l’extrait et en supportent la saveur et quelques centaines de milligrammes de substances volatiles qui en constituent l’odeur.

Les substances à goût sucré sont les éléments de la souplesse, du gras, du moelleux. Elles appartiennent à deux groupes : les sucres proprement dits qui existent dans les raisins ( glucose, fructose, arabinose et xylose ) et les sucres d’origine fermentaire, les deux principaux étant l’alcool éthylique suivi du glycérol.

Le goût acide du vin est dû à six acides organiques principaux dont trois proviennent du raisin : acide tartrique, acide lactique et acide citrique.

Le vin contient 2 à 4 grammes de substances à goût salé par litre. Ce sont les sels des acides minéraux et de quelques acides organiques.

Les substances à goût amer appartiennent à la famille des composés phénoliques ou polyphénols.   Ce sont les tanins. Leur amertume s’accompagne généralement d’astringence et il est parfois difficile de dissocier ces deux sensations.

Ces substances jouent un rôle important car les vins leur doivent leur couleur et une grande partie de leur saveur. Evoluant au cours du vieillissement, elles expliquent la transformation des vins pendant la conservation.

Les anthocyanes qui sont les pigments rouges et qui sont présentes pour 200 à 500 µgr par litre dans les vins jeunes ne semblent pas avoir de goût particulier tout au moins tant qu’elles sont libres et non condensées dans les raisins.

Il existe 1 à 3 gr de tanins dans les vins rouges et quelques dizaines de µgr par litre dans les vins blancs

Il existe dans les vins bien d’autres constituants réputés neutres et sans saveur.

LE GOUT DU VIN Le Grand Livre de La Dégustation Emile PEYNAUD Bordas Paris 1980 Lire la suite »

Retour en haut